mercredi 12 octobre 2011

L'AFRIQUE ENVOIE LA FRANCE EN PHASE FINALE DE L'EURO 2012.

Face à une équipe de Bosnie-Herzégovine bien organisée et joueuse, la France a une fois encore fait recours à ses colonies pour pouvoir triompher. Comme quoi, les tirailleurs sénégalais des temps modernes sont toujours à l'oeuvre.



Comme si leurs pays d'origine ne méritent ni leurs talents, ni de médailles, encore moins de grandeur –tout au moins en sport- ces footballeurs ont choisi de vendre leur âme au plus offrant et récoltent ainsi le prix de leur indignité. Quand ils gagnent de médailles, ils sont des héros français, mais quand ils perdent, il faut les lapider, les vouer aux gémonies, leur  rappeler leur origine ou les vendre comme Chicken George aux temps de l'esclavage.


Ces footballeurs noirs de l'équipe de France, on a beau leur signifier qu'ils ne sont pas français, ils ne cessent pourtant de pleurnicher de n'avoir pas été sélectionnés pour porter le maillot tricolore. On a beau les insulter, ils continuent pourtant de lécher les bottes de leurs maîtres et celles des maîtres de leurs ancêtres. On a beau maltraiter leurs "frères de couleur" en France, les jeter en méditerranée pour contenir "l'immigration clandestine", les parquer dans des ghettos, les traiter de « racailles » à nettoyer au Karcher, leur attribuer des « odeurs et du bruit » eux pourtant ne cessent de s’afficher en français plus français que les Gaulois, assimilés jusqu’à la moelle, riches et coupés de leur peuple qui sans doute leur inspire la honte. On a beau soutenir des dictateurs contre leur peuple d’origine et la France pour laquelle ils se battent a beau piller, dévaliser, affamer, humilier et meurtrir les populations desquelles ils sont issus, ils n’en ont rien à foutre ; eux se disent français et considèrent ce qu’ils appellent souvent « ces gens-là » en Afrique comme des malheureux auxquels il faut offrir des miettes de dons pour mieux entretenir leur image par la communication par "l'humanitaire". Jamais, il ne leur vient ou viendra à l’esprit de lever le petit doigt, ni d’utiliser leur position pour dire leur colère contre des hommes politiques, des journalistes, des philosophes, des artistes… ouvertement racistes qui passent leur journée à discriminer et à insulter leurs congénères. Dans leur petit confort de gladiateurs des temps modernes nourris pour gagner des combats pour le maître, ils n’hésitent pas à prendre parfois sa défense en prétextant qu’ils n’ont pas de « mission politique ». Leur seul devoir, c'est de jouer au foot et se taire. Etrange conception de la politique donc ! Leur devoir se résume ainsi : ne jamais utiliser leur tête, mais leurs pieds.


 Komla KPOGLI

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