Il y a quelques jours, Moaz Al-Khatib fait "chef de l'opposition syrienne" par qui on sait a déposé pour une deuxième fois sa démission, fatigué d'attendre un pouvoir qui, manifestement, tarde à lui échoir. Ses mentors coincés entre la Russie et la Chine qui refusent, pour le moment en tout cas, de céder le passage à ces "guerriers démocratiques" tardent à démocratiser la Syrie avec des bombes. Moaz Al-Khatib n'a pas manqué de rappeler à ses mentors leur promesse non-tenue de fournir des armes aux groupes mercenaires qui sont censés accomplir la mission de renverser le gouvernement Al-Assad. " Reprenant l'antienne du massacre commis par les forces nationales syriennes, le démissionnaire écrit: «Durant ces deux dernières années, nous avons été égorgés par un
régime d’une brutalité sans précédent, alors que le monde nous
observait...Toutes les destructions des infrastructures syriennes, la détention
de dizaines de milliers de personnes, l’exil forcé de centaines de
milliers d’autres (…) n’ont pas suffi pour que la communauté
internationale prenne une décision afin de permettre au peuple de se
défendre».
Redoutant visiblement d'autres défections dans les rangs des laquais positionnés pour capter le pouvoir lorsque Bachar Al Assad serait renversé, les Occidentaux, à leur être les Etats-Unis d'Amérique et leurs lieutenants britanniques et israéliens nous resservent le réchauffé des "armes chimiques" qui auraient été utilisées par l'armée nationale syrienne. Il s'agit pour eux d'une tentative d'accélération du calendrier pouvant, si la propagande prenait, déboucher sur une décision des "guerriers démocratiques" occidentaux de forcer le passage avec le pari que le couple sino-russe finira par céder et laisser faire.
En septembre 2012, nous avions publié le texte ci-dessous sur cette histoire d'armes chimiques qualifiées à l'époque par Barack Obama suivis par ses amis de "ligne rouge" dont le franchissement "changera les calculs" étatsuniens. A l'heure où on nous ressort ces armes qui ressemblent point pour point aux mythiques armes de destruction massive de Saddam Hussein, nous rediffusons ce texte.
Bonne lecture.
Redoutant visiblement d'autres défections dans les rangs des laquais positionnés pour capter le pouvoir lorsque Bachar Al Assad serait renversé, les Occidentaux, à leur être les Etats-Unis d'Amérique et leurs lieutenants britanniques et israéliens nous resservent le réchauffé des "armes chimiques" qui auraient été utilisées par l'armée nationale syrienne. Il s'agit pour eux d'une tentative d'accélération du calendrier pouvant, si la propagande prenait, déboucher sur une décision des "guerriers démocratiques" occidentaux de forcer le passage avec le pari que le couple sino-russe finira par céder et laisser faire.
En septembre 2012, nous avions publié le texte ci-dessous sur cette histoire d'armes chimiques qualifiées à l'époque par Barack Obama suivis par ses amis de "ligne rouge" dont le franchissement "changera les calculs" étatsuniens. A l'heure où on nous ressort ces armes qui ressemblent point pour point aux mythiques armes de destruction massive de Saddam Hussein, nous rediffusons ce texte.
Bonne lecture.
Comment la
propagande pro-guerre contre la Syrie évolue-t-elle?
03 septembre 2012
Komla KPOGLI
Web. http://lajuda.blogspot.com
La propagande médiatique a changé et a pris
un nouveau cap sur la Syrie. Après des slogans : « des massacres
contre son propre peuple », « des massacres épouvantables de
Bachar Al-Assad » et toutes ces choses non vues mais criées et répétées
qui n’ont pas (encore) réussi à bouger la position de la Russie et de la Chine,
voici venu l’heure des « armes chimiques ». Les chiffres macabres
avancés et distillés depuis Londres par l’OSDH, l’agence de presse et officier
du registre mortuaire des « insurgés-rebelles-révolutionnaires »
pupilles de l’Occident, se présentant comme une organisation de défense des
droits de l’Homme, n’auront donc pas suffi pour obtenir des « bombardements
justes et humanitaires » sur la Syrie. Les outrances mensongères de
Laurent Fabius, de Hillary Clinton et autres petits tireurs d’élite
médiatico-intellectuels n’auront pu réussir, pour le moment en tout cas, à
obtenir de la Russie et de la Chine ne serait-ce qu’un fléchissement. Il faut
donc monter d’un cran le matraquage et trouver plus grave que les massacres. Et
qui s’en est chargé ? Le sous-lieutenant, l’Etat mercenaire par excellence
des Etats-Unis et de ses alliés au Moyen-Orient : Israël.
Constatant la persistance de la
fermeté sino-russe face à toutes les ruses et autres pièges savamment enrobés
dans le tissu troué des projets de résolution ou des contacts diplomatiques
nocturnes, la question des « armes chimiques » détenues par la Syrie
revient subitement au devant de la scène. Le mode opératoire est digne
d’intérêt : le 20 juillet 2012, Ehoud Barak, le ministre israélien
de la Défense, effectuant une tournée d'inspection sur le plateau du Golan à la
frontière avec la Syrie, a clairement laissé entendre que « l'armée israélienne ne permettrait en aucun cas le transfert
d'armes de destruction massive syriennes. L'Etat d'Israël ne peut accepter le transfert d'armes de pointe
de la Syrie au Liban. Nous surveillons étroitement (...) le Hezbollah qui
pourrait essayer de tirer avantage de la situation…Il n'est pas approprié d'en
dire plus pour le moment sur quand nous allons agir, comment nous agirons, ou
si vraiment nous agirons. Nous
suivons tout cela de très près». Voilà la naissance d'une nouvelle argumentation en faveur du projet d'agression contre la Syrie: la menace des armes chimiques.
«La
Syrie a accumulé le plus important arsenal d'armes chimiques du monde et
dispose de missiles et de roquettes capables d'atteindre n'importe quel point
du territoire israélien», a confirmé le général Yaïr Naveh, le chef
d'état-major adjoint.
Les deux dirigeants seront suivis par le chef du gouvernement
israélien. « Peut-on imaginer que le
Hezbollah dispose d'armes chimiques, c'est comme si Al-Qaïda avait des armes
chimiques », a affirmé M. Netanyahu le 22 juillet 2012. « C'est une chose inacceptable pour
nous, pour les Etats-Unis, et nous devrons agir pour l'empêcher s'il en est
besoin » a prévenu M. Netanyahu.
Constatant
ce nouveau tournant dans la communication de ses ennemis, Damas a indiqué le
lundi 23 juillet 2012 qu'elle n'utiliserait ses armes chimiques qu'en cas
d'"agression étrangère". « Aucune
arme chimique ou non conventionnelle ne sera utilisée contre nos propres
citoyens (...), ces armes ne seront utilisées qu'en cas d'agression étrangère »,
a indiqué le porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères.
Mais ce
tournant dans la communication a fait son effet et va être maintenu. Désormais,
les parrains de la rébellion armée contre la Syrie vont marteler le même
message afin de mieux ancrer dans les têtes la dangerosité du gouvernement
dirigé par Al Assad. La technique est si bien rôdée que Barack Obama, le prix
Nobel des guerres justes et humanitaires s’est fendu des menaces très claires
le 20 août dernier : « Nous
avons été très clairs envers le régime d'Assad, mais également envers les
autres acteurs sur le terrain, sur le fait que, pour nous, une ligne rouge
serait de voir un arsenal complet d'armes chimiques en train d'être déplacées
ou utilisées. Cela changerait mes calculs. » Et, pour être encore plus clair et montrer que « les acteurs sur
le terrain » est une formule pour désigner en réalité le gouvernement d’Al
Assad, Obama a tenu à préciser : « Nous
ne pouvons pas nous trouver dans une situation dans laquelle des armes
chimiques ou biologiques tombent entre les mains des mauvaises personnes ».
A partir du
moment où l’Oncle Sam a parlé des armes chimiques suivant ainsi son sous
lieutenant Israël, il était évident que toutes les autres hyènes de la bande
iront dans le même sens. Telle est l’une des règles fondamentales de la chasse
élaborées par la meute.
Une semaine après l’Oncle Barry,
François Hollande surnommé dans certains milieux revanchards « le
Mou » ou « Le Flou » ou encore « Flamby » le 27 août
2012, François Hollande ira répéter le nouveau mot d’ordre : « Je le dis avec la solennité qui
convient : nous restons très vigilants avec nos alliés pour prévenir
l’emploi d’armes chimiques par le régime (syrien), qui serait pour la
communauté internationale une cause légitime d’intervention directe »,
lors d’un discours devant quelque 200 ambassadeurs français réunis à l’Elysée.
Son ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius qui, déjà en août
professait que « Bachar Al Assad ne mérite pas d’être sur terre »,
ira énoncé sur Europe1 le 31 août que « il
est certain que nous jugeons M. Bachar al-Assad responsable de l'utilisation de
ces armes et s'il y avait la moindre tentative d'en faire utilisation
directement ou indirectement la réponse serait immédiate et fulgurante ».
Sur
France 3, dimanche 02 septembre 2012, Alain Juppé déchu du ministère des affaires
étrangères pour cause de défaite électorale de Sarkozy a affirmé que les pays Occidentaux
et leurs alliés (agresseurs) doivent «se passer d'un feu vert onusien pour attaquer la Syrie
au cas où le risque de prolifération d'armes chimiques se
dessinait ». Alain Juppé, un des
assassins directs de Mouammar Kadhafi et des dizaines de milliers de personnes
en Libye et en Côte d’Ivoire a précisé que « sur
la question d'utiliser la force ou pas, notre doctrine de toujours-et je pense
qu'il ne faut pas l'abandonner- est qu'on utilise la force qu'avec le feu vert
des Nations unies. Est-ce que dans un certain nombre de situations extrêmes,
comme le risque de prolifération des armes chimiques, on peut se passer de ce
feu vert? Oui, je pense qu'il faut l'envisager ».
David Cameron, premier ministre britannique et Ban Ki Moon,
secrétaire général de l’atlantiste ONU iront dans le même sens. Ce dernier déclarant le 23 juillet 2012 depuis
Belgrade : « il serait répréhensible de voir quiconque en Syrie
envisager l'utilisation d'armes de destruction massive comme des armes
chimiques. J'espère sincèrement que la communauté internationale gardera un
oeil là-dessus pour que rien de tel ne se produise ».
La Turquie, le
Qatar, l’Arabie Saoudite et tous les autres pions sont sur la même longueur
d’ondes.Comme on le voit, les stratèges pro-guerre
auront le triste mérite d’avoir tout essayé. La
nouvelle rhétorique fondée sur les armes chimiques menaçantes pourra
ainsi justifier une agression contre la Syrie en escamotant le double
refus sino-russe et mettre ainsi la Chine et la Russie devant le fait
accompli tout en misant sur le fait que, peut-être, ces deux pays
n'iront pas jusqu'à livrer une guerre ouverte à l'Occident pour la
Syrie. Rien n'est moins sûr.
Israël étant le pays qui fabrique en
direction prioritairement des opinions occidentales l’essentiel de
l’information sur ce qu’on appelle le monde arabe, démontre une nouvelle fois
au travers de ce changement de rhétorique face à la Syrie qu’il sait tenir son
rôle. Rôle qu’ont dépeint Stephen Walt et John Mearsheimer dans leur ouvrage « Le Lobby pro-israélien et la
politique étrangère américaine » paru en 2007.
En effet, lors de la « Guerre des six
jours » en 1967, Israël a arraché à la Syrie une partie de son territoire
appelée le plateau du Golan d’où environ 100.000 syriens furent renvoyés. En
1981, le plateau du Golan passe sous les lois israéliennes et le territoire est
repeuplé par quelques 18.000 colons israéliens. La Syrie tient absolument à
reprendre ce territoire et pour ce faire, elle arme le Hezbollah et le Hamas
qu’elle utilise pour maintenir la pression sur Israël. Comme le montrent Walt
et Mearsheimer, seuls Yitzhak Rabin en 1994 assassiné plus tard et Ehud Barak
dans un premier temps, puis opposé en 2000 furent favorables parmi tous les
dirigeants israéliens de retourner à la Syrie le territoire volé contre un
traité de paix. Ariel Sharon qui a succédé à Ehud Barak lui-même ayant fait
marche arrière déclarera : « même
dans mes moments de fantaisie les plus fous, je n’aurais jamais accepté une
telle concession ». Ehud Olmert, successeur de Sharon confirmera :
« Le plateau du Golan restera en
notre possession pour toujours ». Tous ses successeurs s’inscriront
dans la même logique. « Israël
n’abandonnera jamais le plateau de Golan ; cette région fait partie intégrante
d’Israël et est vitale pour sa sécurité et sa protection » tranchait
Yisraël Katz, député israélien lorsque Javier
Solana, Secrétaire général du Conseil de l’Union Européenne, en 2007, disait
souhaiter aider la Syrie à récupérer ledit territoire.
Face à l’insistance syrienne va alors être
engagée une œuvre de diabolisation du gouvernement syrien par Israël, ses
dirigeants, ses intellectuels, ses médias et les puissants lobbies qui le
soutiennent inconditionnellement dans sa logique de confiscation du Golan.
Ariel Sharon, le 15 mars 2003 dira de Bachar Al Assad qu’il est un « homme dangereux et incapable d’un
jugement sain » avant d’appeler
les Etats Unis à exercer sur Al Assad « une
très forte pression » pour l’empêcher de soutenir le Hamas et le
Hezbollah. Toujours en 2003, pour Ephraïm Halevy, conseiller pour la sécurité
nationale de Sharon, Assad « irresponsable
et insolent succombait fréquemment à de mauvaises influences », « on ne pouvait pas fermer les yeux sur
ses machinations. Mais avant d’arriver à la guerre, il y a toute une gamme de
mesures qui peuvent être prises pour limiter les crocs du jeune, arrogant et
immature président syrien ». L’immaturité de Bachar Al- Assad étant sa
volonté de voir la Syrie regagner le plateau du Golan.
Les deux auteurs citent beaucoup de
personnalités allant dans le même sens dans les médias israéliens aussi bien qu’étatsuniens
où elles accouchaient fréquemment leur propagande en vue de pousser l’opinion
et les décideurs politiques occidentaux notamment étatsuniens à catégoriser la
Syrie et éventuellement à lui livrer une guerre. « La Syrie avait un fort pouvoir de nuisance, beaucoup plus fort
que l’Irak » Yoshi Alphar. « Je
me demande si, étant donné la qualité de leurs sources, les Syriens n’avaient
pas eu vent de la conspiration du 11 septembre et avaient omis d’en avertir les
Etats Unis » Itamar Rabinovich, ancien ambassadeur d’Israël aux USA. « Prochaine étape : serrer la vis
à la Syrie. Il faut utiliser tous les moyens nécessaires y compris la force militaire
pour obtenir un changement de comportement et/ou de régime à Damas »,
journaliste israélo-américain Yossi Klein Halevi, 15 avril 2003 dans le Los
Angeles Times. « La Syrie, amie du
terrorisme, a elle aussi besoin d’un changement », Zev Chafets, 16 avril
2003 dans New York Daily News. « Je
ne serai pas surpris si les armes de destruction massive que nous n’arrivons
pas à trouver en Irak avaient pris le chemin de la Syrie » Eliot Engel.
« Assad est un homme excessivement
dangereux » Jed Babbin…On pourrait en citer d’autres. Mais c’est
fastidieux. Soulignons simplement qu’à la même époque, il y avait une loi
dénommée Syria Accountability Act qui fut votée par le congrès étatsunien sous
l’instigation d’Eliot Engel et de l’AIPAC avec pour objectif d’intégrer la
Syrie à la liste des pays de « l’Axe du Mal ».
La Syrie n’est donc pas dans l’œil du
cyclone depuis 2011. Elle est ciblée bien avant le début du fameux « Printemps
arabe ». Les mouvements de foule de ces deux dernières années dans les
pays où l’Occident bénéficiant dans certains cas des yeux fermés de la Chine et
de la Russie n’ont servi qu’à tendre vers la réalisation d’un objectif prévu de
longue date à Damas. Pour ce faire, rien de plus efficace que de resservir les
vieilles mais redoutables recettes des armes chimiques, bactériologiques voire
de destruction massive. C’est en cela que les responsables israéliens qui font
semblant de ne jouer aucun rôle en Syrie actuellement avaient été les premiers
à réorienter la communication pro-guerre en la faisant passer du stade
compassionnel des massacres nécessitant une intervention
humanitaire bloquée par les méchants et cyniques Russes et Chinois au cap
de la menace des armes chimiques, « ligne rouge » autour duquel les
agresseurs tentent à présent de mobiliser. Il faut rappeler, pour finir, que
les armes chimiques dont il est question sont celles que la Syrie avait
achetées à l’Egypte en 1973, lesquelles ne font peur ni à Israël ni à
l’Occident car disposant de moyens de dissuasion suffisants.
Le
prochain sur la liste est l’Iran. Les dirigeants israéliens ne cachent
même pas leur démarche. Certain que tous les actes qu’il aura à poser,
que ce soit aujourd’hui ou demain, contre l’Iran a et aura l’appui moral
et matériel de l’Occident notamment des Etats Unis d’Amérique, des
dirigeants israéliens annoncent qu’ils pourront frapper l’Iran avant les
élections américaines de novembre prochain, obligeant ainsi ce tuteur
bienveillant à l’accompagner dans cette nouvelle mission. Ce matin, 03
septembre 2012 sur BFMTV, Jean Jacques Bourdin a essayé en vain
d’obtenir de Laurent Fabius un mot de la diplomatie française allant à
l’encontre du projet israélien. Projet qui au demeurant, ne fâche pas la
plupart des diplomaties occidentales. Loin de là, elles le soutiennent,
lui fournissent même des moyens pour son accomplissement. A la fin,
Fabius n’a trouvé qu’une condamnation ou simplement de réserves quant à
une future agression contre l’Iran. Il dira « je me demande même si les
Iraniens ne sont pas dans une stratégie double en se faisant frapper
puis dire « nous on ne faisait rien, on nous a tapés dessus faire. Ils
deviennent ainsi la victime et du même et du coup ils récupèrent une
espèce de légitimité auprès des populations ». C’est dire combien ce
monde là réserve donc des surprises aux proies contre lesquelles il
planifie des attaques. Il temps, grand temps que les peuples affaiblis
ou faibles commencent sérieusement par penser sérieusement à leur survie
en se regroupant, en se dotant de la conscience des enjeux, en fédérant
autour d’un leadership avisé et responsable avec l’idée de rechercher
les moyens les plus appropriés pour répondre aux défis que ce monde là
pose et posera.
3 commentaires:
Il y a longtemps que je cherche MOLTRA en vain sur facebook.
Pour l'article, je trouve que l'Afrique tarde trop à se procurer des armes chimiques parce que nous sommes encore nombreux sur le continent et notre race est menacée de disparition: alors que de simples pays comme l'Iran et la Syrie, la Corée du Nord se font respecter parce qu'ils ont des armes nucléaires.
Jusqu'à quand allons nous nous procurer ces armes nucléaires pour maîtriser notre espace vitale?
Monsieur Koffi ,vous vous trompez complétement on a pas besoin de ces armes de destruction ,d'ailleurs pour en faire quoi !
Ce dont a réellement besoin l'Afrique c'est de science et technologies et rien de plus !
On est devenu des tubes digestifs sur deux pattes ,on importe tout et on ne sait rien fabriquer!
Voila notre défi ,il est lié au développement !
On a rien à faire d'armes nucléaires et tutti-contai,il faut arracher l'homme noir à sa condition d'homme colonisable ,point !
Chacune de vos analyses me donne davantage de compréhension quant à la lecture de ce monde et des enjeux véritables qui s'y jouent.
Votre travail mérite d'etre plus largement diffusé.
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