Traqué depuis septembre 1969, date de sa prise du pouvoir en Libye par une révolution, Mouammar Kadhafi avait vu dans l'avènement de Barack Obama un temps de répit pour les 4 ans ou les 8 ans à venir en cas de sa réélection. Beaucoup étaient ces Africains à louanger et à manifester leur optimisme face à ce fameux président "Noir" que les Etats-Unis venaient de porter au pouvoir après la période enflammée et sanglante de George Walker Bush et ses amis néoconservateurs va-t'en-guerre. Grave erreur de jugement! Puisqu'il aura suffi de quelques mois pour s'apercevoir que "le premier président Noir" américain n'était pas élu pour apporter le bonheur au monde (ce qu'espéraient ses laudateurs les plus fous), mais pour diriger les Etats-Unis d'Amérique et travailler pour leurs intérêts.
Certes, le nouvel occupant de la Maison Blanche a un look à plaire, il a un parcours brillant dans le système, ce que beaucoup d'Africains rêvant d'intégrer le système ont admiré et érigé en modèle. Il est photogénique, avec sa famille autour le plus souvent possible. Il avait un discours séduisant les plus optimistes, sinon les plus naïfs qui n'ont pas perçu qui finançait et a financé à hauteur de 600 millions de dollars l'ascension de Barack Obama et sa conquête du pouvoir. De plus, pour un pays qui s'est toujours vu comme en mission divine pour diriger le monde, et se cachant derrière les bons mots de démocratie et de liberté pour imposer sa loi, la loi de jungle un peu partout sur terre, il était évident que le "Yes we can, Change" relevait du pur slogan électoral. Mais l'enthousiasme hasardeux avait tué toute réflexion profonde et sermonné voire liquidé toutes celles et tous ceux qui osaient pondérer. A l'époque, nous l'avions dit et même écrit. Beaucoup d'africains hypnotisés à l'époque nous avaient opposés de sévères critiques allant jusqu'à nous dire que nous jouions "contre notre camp" et surtout qu'il fallait savoir trouver dans des situations comme l'arrivée de Barack Obama un "évènement salutaire" pour les Noirs. On nous avait indiqué la nuance et le raisonnement scientifique qui voudraient qu'on ne parte pas avec des a priori négatifs. Au Kenya, le satrape et son gouvernement avaient décrété un jour férié pour fêter "l'évènement" et savourer l'instant magique où un Noir entra à la Maison Blanche dans un pays où il y a à peine 40 ans, on pendait les noirs juste pour leur couleur. On nous avait dit de suivre ce "merveilleux exemple". Certains amoureux du mysticisme nous avaient même expliqué à l'époque que son nom signifiant Baraka, c'est-à-dire la chance, ou que ce nom composé du BA, du RA et du KA de l'Egypte pharaonique, Obama ne pouvait qu'apporter bonheur aux africains car étant un homme complet. On est allé jusqu'à dire qu'il est la "réincarnation du pharaon Narmer" à qui il "ressemblait énormément". Ainsi, lorsque l'homme fit sa première visite en tant que président des USA en Afrique dans le territoire du Ghana, il avait touché le point G des africains et surtout d'une frange énorme des partisans de la Renaissance africaine. Espérance illusoire! Heureusement que nous faisions partie des "pessimistes" ou des "éternels critiques" à l'époque. Car aujourd'hui, on entend ici ou là, surtout dans les milieux les plus enthousiastes d'hier, que l'homme Obama aurait déçu. Qu'il aurait tué l'espoir placé en lui, il aurait même "trahi l'Afrique", nous dit-on. Trahi? Quel pacte Obama a-t-il noué avec les Africains pour que ceux-ci crient trahison à leur égard ou à l'égard de l'Afrique? En faisant de la seule couleur de peau le critère d'une nouvelle gouvernance fondée sur des valeurs justes, beaucoup doivent se dire aujourd'hui qu'ils avaient joué à l'émotion et cédé à la propagande électoraliste qui avait pour vocation de "vendre" un produit, la marque Obama.
Certes, le nouvel occupant de la Maison Blanche a un look à plaire, il a un parcours brillant dans le système, ce que beaucoup d'Africains rêvant d'intégrer le système ont admiré et érigé en modèle. Il est photogénique, avec sa famille autour le plus souvent possible. Il avait un discours séduisant les plus optimistes, sinon les plus naïfs qui n'ont pas perçu qui finançait et a financé à hauteur de 600 millions de dollars l'ascension de Barack Obama et sa conquête du pouvoir. De plus, pour un pays qui s'est toujours vu comme en mission divine pour diriger le monde, et se cachant derrière les bons mots de démocratie et de liberté pour imposer sa loi, la loi de jungle un peu partout sur terre, il était évident que le "Yes we can, Change" relevait du pur slogan électoral. Mais l'enthousiasme hasardeux avait tué toute réflexion profonde et sermonné voire liquidé toutes celles et tous ceux qui osaient pondérer. A l'époque, nous l'avions dit et même écrit. Beaucoup d'africains hypnotisés à l'époque nous avaient opposés de sévères critiques allant jusqu'à nous dire que nous jouions "contre notre camp" et surtout qu'il fallait savoir trouver dans des situations comme l'arrivée de Barack Obama un "évènement salutaire" pour les Noirs. On nous avait indiqué la nuance et le raisonnement scientifique qui voudraient qu'on ne parte pas avec des a priori négatifs. Au Kenya, le satrape et son gouvernement avaient décrété un jour férié pour fêter "l'évènement" et savourer l'instant magique où un Noir entra à la Maison Blanche dans un pays où il y a à peine 40 ans, on pendait les noirs juste pour leur couleur. On nous avait dit de suivre ce "merveilleux exemple". Certains amoureux du mysticisme nous avaient même expliqué à l'époque que son nom signifiant Baraka, c'est-à-dire la chance, ou que ce nom composé du BA, du RA et du KA de l'Egypte pharaonique, Obama ne pouvait qu'apporter bonheur aux africains car étant un homme complet. On est allé jusqu'à dire qu'il est la "réincarnation du pharaon Narmer" à qui il "ressemblait énormément". Ainsi, lorsque l'homme fit sa première visite en tant que président des USA en Afrique dans le territoire du Ghana, il avait touché le point G des africains et surtout d'une frange énorme des partisans de la Renaissance africaine. Espérance illusoire! Heureusement que nous faisions partie des "pessimistes" ou des "éternels critiques" à l'époque. Car aujourd'hui, on entend ici ou là, surtout dans les milieux les plus enthousiastes d'hier, que l'homme Obama aurait déçu. Qu'il aurait tué l'espoir placé en lui, il aurait même "trahi l'Afrique", nous dit-on. Trahi? Quel pacte Obama a-t-il noué avec les Africains pour que ceux-ci crient trahison à leur égard ou à l'égard de l'Afrique? En faisant de la seule couleur de peau le critère d'une nouvelle gouvernance fondée sur des valeurs justes, beaucoup doivent se dire aujourd'hui qu'ils avaient joué à l'émotion et cédé à la propagande électoraliste qui avait pour vocation de "vendre" un produit, la marque Obama.
Mouammar Kadhafi, avec toute l'expérience du monde réel qui fut le sien, avait difficilement échappé à cette émotion. Ainsi, à New York dans son discours devant la 64e Assemblée générale de l’ONU en Septembre 2009, Mouammar Kadhafi dira: "Nous, Africains, sommes heureux et même fiers qu’un fils d’Afrique soit aujourd’hui Président des États-Unis d’Amérique. C’est un événement historique. Aujourd’hui, dans un pays où autrefois les Noirs ne pouvaient pas côtoyer les Blancs dans les cafés ou les restaurants, ou s’asseoir à côté d’eux dans les autobus, le peuple américain a élu à la présidence un jeune homme noir d’origine kenyane, M. Obama. C’est merveilleux, et nous en sommes fiers. C’est le début d’un changement. Mais en ce qui me concerne, Obama est un soulagement temporaire pour les quatre ou huit prochaines années. J’ai bien peur que nous ne revenions au point de départ. Personne ne peut garantir comment l’Amérique sera gouvernée après Obama.
Nous serions heureux qu’Obama puisse rester éternellement Président des États-Unis d’Amérique...Les présidents américains avaient pour habitude de nous menacer avec toutes sortes d’armes, disant qu’ils allaient envoyer les opérations Tempête du désert, Raisins de la colère, Rolling Thunder, et des roses empoisonnées pour les enfants libyens. C’était leur façon de procéder...Ce que notre fils Obama a dit aujourd’hui est complètement différent" .
02 ans à peine plus tard, ce discours qui se voulait prophétique ne s'accomplit pas. Barack Hussein OBAMA ira tout simplement assassiner Mouammar Kadhafi en compagnie de la France, de l'Angleterre, de l'Italie, du Canada, du Danemark, de la Belgique, du Qatar avec le regard détourné de la Russie et de la Chine. Cette dernière ayant d'ailleurs affrété un bateau pour rapatrier ses 30.000 ressortissants travaillant en Libye. La Côte d'Ivoire du président Laurent Gbagbo n'a pas lui non échappé à la destruction par la France avec l'appui et le soutien bien affirmés de Barack Obama pour qui le président Laurent Gbagbo utilisait "des voyous pour se maintenir indûment au pouvoir". "Dans cette situation, nous utilisons tout une gamme de ressources à notre disposition en essayant d`isoler ce type, avec l`aide de pays africains et de voisins (de la Côte d`Ivoire) pour l`encourager à partir, pour lui faire subir de la pression", avait ajouté M. Obama à l'époque. Et effectivement, ce fut chose faite. Les Etats-Unis d'Obama ont laissé la France de Sarkozy agir. Mieux, les Etats-Unis l'ont aidé de diverses manières et lorsque les français ont chassé Sarkozy du pouvoir par les urnes en mai 2012, Obama appellera son "ami" pour le remercier de son "leadership solide et de sa coopération".
Aujourd'hui, le dossier d'Africom, le commandement militaire américain en Afrique est très avancé et la coopération militaire entre les Etats-Unis et des satrapies africaines est au beau fixe. Des gars comme Faure Gnassingbé ont déjà vu atterrir à Lomé Hillary Clinton et des dirigeants d'Africom. Hillary Clinton avait encore début août dernier effectué un séjour de 11 jours en Afrique consacré à des pays extrêmement riches et stratégiquement importants pour les Etats-Unis. Dans le souci de contenir la puissance chinoise sans cesse croissante en Afrique, Africom est d'une "utilité incontournable" et des bases militaires absolument nécessaires. Ainsi, à côté de la base militaire française à Djibouti, les Etats-Unis ont ouvert leur base militaire en 2003. Depuis l'avènement de Barack Obama, ce dispositif ne cesse d'être renforcé sous le fallacieux prétexte de lutter contre les "pirates somaliens". Cet objectif proclamé cache à peine le but véritable de la maneouvre qui est le contrôle des ressources de la région et la sécurisation de leur transport. Dans la même veine, le 12 octobre 2011, Obama décida d'envoyer une expédition en Ouganda officiellement pour arrêter Joseph Kony, chef rebelle qui guerroie depuis les années 1980 contre le garçon de courses local et son armée. L'odeur des matières premières stratégiques notamment le pétrole a toujours attiré les yankees. Ce n'est pas Obama qui changera cette donne. La partition du Soudan et la celle en cours du Mali ces deux dernières années sont là pour nous rappeler cette réalité.
La politique des dominateurs consiste à prendre les dominés pour ce qu'ils sont, à leur annoncer constamment un changement qui n'arrive jamais. Et pour se faire réélire, avec le consentement de leur proie, même recette: le changement arrive, il faut juste quelques années supplémentaires. Mordant à cet attrape-nigaud d'irréductibles partisans de l'étapisme et du réformisme venant des maîtres du monde espèrent que les électeurs étatsuniens accorderont un second mandat à leur joker. Ainsi, selon ces "religieux", n'attendant plus de compétition électorale, Obama, le toujours président des Etats-Unis d'Amérique se mettra au service de l'Afrique et réglera pour les Africains leurs problèmes. Quant aux "infidèles" ou aux déçus, ils espèrent qu'Obama sera mis dehors et que Mitt Romney qui le remplacera (peut-être) sera différent tout comme Hollande serait différent de Sarkozy, comme on nous le disait à l'époque. Savants calculs, tout ça!
Un peuple qui fonde ses espoirs sur la bonne volonté de ses dominateurs est définitivement condamné à la servitude. Il n'y a pas d'autre conclusion à tirer de cette incapacité à lire le monde réel.
02 ans à peine plus tard, ce discours qui se voulait prophétique ne s'accomplit pas. Barack Hussein OBAMA ira tout simplement assassiner Mouammar Kadhafi en compagnie de la France, de l'Angleterre, de l'Italie, du Canada, du Danemark, de la Belgique, du Qatar avec le regard détourné de la Russie et de la Chine. Cette dernière ayant d'ailleurs affrété un bateau pour rapatrier ses 30.000 ressortissants travaillant en Libye. La Côte d'Ivoire du président Laurent Gbagbo n'a pas lui non échappé à la destruction par la France avec l'appui et le soutien bien affirmés de Barack Obama pour qui le président Laurent Gbagbo utilisait "des voyous pour se maintenir indûment au pouvoir". "Dans cette situation, nous utilisons tout une gamme de ressources à notre disposition en essayant d`isoler ce type, avec l`aide de pays africains et de voisins (de la Côte d`Ivoire) pour l`encourager à partir, pour lui faire subir de la pression", avait ajouté M. Obama à l'époque. Et effectivement, ce fut chose faite. Les Etats-Unis d'Obama ont laissé la France de Sarkozy agir. Mieux, les Etats-Unis l'ont aidé de diverses manières et lorsque les français ont chassé Sarkozy du pouvoir par les urnes en mai 2012, Obama appellera son "ami" pour le remercier de son "leadership solide et de sa coopération".
Aujourd'hui, le dossier d'Africom, le commandement militaire américain en Afrique est très avancé et la coopération militaire entre les Etats-Unis et des satrapies africaines est au beau fixe. Des gars comme Faure Gnassingbé ont déjà vu atterrir à Lomé Hillary Clinton et des dirigeants d'Africom. Hillary Clinton avait encore début août dernier effectué un séjour de 11 jours en Afrique consacré à des pays extrêmement riches et stratégiquement importants pour les Etats-Unis. Dans le souci de contenir la puissance chinoise sans cesse croissante en Afrique, Africom est d'une "utilité incontournable" et des bases militaires absolument nécessaires. Ainsi, à côté de la base militaire française à Djibouti, les Etats-Unis ont ouvert leur base militaire en 2003. Depuis l'avènement de Barack Obama, ce dispositif ne cesse d'être renforcé sous le fallacieux prétexte de lutter contre les "pirates somaliens". Cet objectif proclamé cache à peine le but véritable de la maneouvre qui est le contrôle des ressources de la région et la sécurisation de leur transport. Dans la même veine, le 12 octobre 2011, Obama décida d'envoyer une expédition en Ouganda officiellement pour arrêter Joseph Kony, chef rebelle qui guerroie depuis les années 1980 contre le garçon de courses local et son armée. L'odeur des matières premières stratégiques notamment le pétrole a toujours attiré les yankees. Ce n'est pas Obama qui changera cette donne. La partition du Soudan et la celle en cours du Mali ces deux dernières années sont là pour nous rappeler cette réalité.
La politique des dominateurs consiste à prendre les dominés pour ce qu'ils sont, à leur annoncer constamment un changement qui n'arrive jamais. Et pour se faire réélire, avec le consentement de leur proie, même recette: le changement arrive, il faut juste quelques années supplémentaires. Mordant à cet attrape-nigaud d'irréductibles partisans de l'étapisme et du réformisme venant des maîtres du monde espèrent que les électeurs étatsuniens accorderont un second mandat à leur joker. Ainsi, selon ces "religieux", n'attendant plus de compétition électorale, Obama, le toujours président des Etats-Unis d'Amérique se mettra au service de l'Afrique et réglera pour les Africains leurs problèmes. Quant aux "infidèles" ou aux déçus, ils espèrent qu'Obama sera mis dehors et que Mitt Romney qui le remplacera (peut-être) sera différent tout comme Hollande serait différent de Sarkozy, comme on nous le disait à l'époque. Savants calculs, tout ça!
Un peuple qui fonde ses espoirs sur la bonne volonté de ses dominateurs est définitivement condamné à la servitude. Il n'y a pas d'autre conclusion à tirer de cette incapacité à lire le monde réel.
Komla KPOGLI
07 septembre 2012
5 commentaires:
Bonjour
Ce qui suit est un commentaire que je viens de publier sur le mur Facebook Alafia.
Je vous incite à créer un compte Facebook et à intervenir sur ce mur togolais A (Je vous proposerais)
Je m'apprêtais à publier votre texte sous le nom de Miky Johns sur notre blog B#RevActu quand une dernière vérification m'a fait découvrir que l'auteur n'était pas celui qui venait de m'autoriser à cette reproduction.++
Voler une chanson en faisant croire qu'on en et l'auteur, voler un article en CHANGEANT LE TITRE et en laissant les lecteurs CROIRE qu'on en est l'auteur sont des PRATIQUES SCANDALEUSES et MEPRISABLES !
Je crache - télématiquement - à la figure de Miky Johns.
Je m'apprêtais à publier sur BREVACTU sous SA signature l'article dont le véritable auteur s'appelle Komla Kpogli.
Ma chance a été que le véritable auteur avait déjà mis en ligne SON article ET que Google l'avait référencé.
IL FAUT QUE ALAFIA REFUSE CE GENRE DE PRATIQUE de voleurs et de faussaires !
Que les admins PRENNENT LES DISPOSITIONS NECESSAIRES.
Selon l'âge de Miky Johns et ses COMPORTEMENTS ANTERIEURS (?) la sanction pourrait commencer à l'avertissement....
Je viens d'écrire sous son FORFAIT :
++++
Je découvre
1° que vous - Miky Johns - vous n'êtes pas l'auteur
2° qu'il s'appelle Komla KPOGLI
3° que vous avez donc effacé SON NOM
4° que vous avez RETIRE LE TITRE se dom article "Barack Obama ou Oncle Barry l'Africain. "
5° ce titre était bien plus intelligent que le vôtre
6° Vous m'avez laissé croire (à moi et aux cousins de Alafia) que VOUS étions l'AUTEUR de ce titre
7° DONC en NOUS PRENANT POUR DES IDIOTS!!
8° Vous m'avez laissé critiquer VOTRE titre sans - alors - AVOUER que ce n'était pas le LE VERITABLE TITRE DE L'ARTICLE
9° En masquant le nom de l'auteur vous avez masqué le NOM DE SON BLOG
http://lajuda.blogspot.fr/2012/09/barack-obama-ou-oncle-barry-lafricain.html
10° De plus, vous avez, en conséquence masqué le NOM de SON ORGANISATION
++
Mouvement pour la Libération Totale et la Reconstruction de l'Afrique (MOLTRA)
Précédemment dénommé Jeunesse Unie pour la Démocratie en Afrique (J.U.D.A), MOLTRA est une organisation de jeunesse créée au Togo en 2003 pour lutter contre toutes les formes d'exploitation dont l'Afrique est l'objet, promouvoir le panafricanisme et reconstruire l'Afrique sur des valeurs authentiquement africaines.
+++
11° J'appelle tout cela PRATIQUES DE FAUSSAIRE, VOL, USURPATION DE TEXTE
12° JE VOUS CRACHE à la FIGURE de façon TELEMATIQUE !
confer
J'insiste, pour le lecteur trop pressé, sur le fait que mon commentaire final est la REPRODUCTION de mon texte Facebook et que je crache télématiquement au visage du faussaire Miky Johns et non pas à celui du VERITABLE AUTEUR Komla Kpogli - dont je viens de diffuser plus largement son article sur mon propre mur Facebook en partageant cet article très intéressant, article qui défend des thèses très similaires aux nôtres en particulier quant au rôle contre-révolutionnaire des USA.
Les USA préparent la guerre contre les peuples d'Afrique et contre la Grande Révolution Africaine
Les pantins des adorateurs de la Riba impie ne sont ni intégristes ni musulmans ! Ils sont les agents franceàfric et CIA contre la révolution africaine Un commentaire sur le site de Libé
Vous seriez aimables de faire cesser les insultes et les menaces de celui qui se prétend votre adhérent (dans le cas où il le serait effectivement). L'image qu'il donne du panafricanisme est affligeante et dommageable - quand bien même il s'était dispensé de donner les liens vers vos articles que je découvre.
CITATION de ses dernières interventions sur Alafia
++
Miky Johns (SIC) HEY toi vieux con prètentieux, si tu connais le Moltra tu n'oserais même pas nous approcher . merde va . Qui a volé ta chanson???
Miky Johns (SIC) Si t'as rien à faire de ta vie, va parler aux siens. Nous ne t'avons pas attendu pour nous battre pour l'Afrique, nous ses fils. Je suis membre du Moltra si tu veux savoir .si tu comptes sur nous, pour nous étaler ici tu te trompes!
sources de ces 2 commentaires sur Alafia
bravo komla
ça fait du bien de te lire,ça apaise
je me sens moins seul et plus fort
amitiés
merci pour cet article qui reflète la réaction normale de tout africain ou du moins "africain en voie de devenir", la lutte reste constante elle doit être ancrée dans les esprits, elle commence par la propagation d'un esprit critique l'entretien et le developpement de "lobbies" à l'échelle planétaire.
Ce sens critique et ce panafricanisme doit entre enseigné dans nos écoles, pour permettre à nos enfants de lutter contre le marchandising ideologique et sortir du "j'existe parce que je consomme".
"je gouverne,je suis garant du systeme j'aime mon compte en banque, et deteste mon peuple".
Le capitalisme demande une croissance constante, il a comme levier l'oppression constante, ces chers politiques dont vous parlez en sont les garants qu'ils soient noirs blancs ou mauves.
Enregistrer un commentaire