jeudi 23 juin 2011

Africains: le complexe d'infériorité sans limite.


Le complexe d'infériorité africain n'a et n'aura pas de limite. En toute chose, l'Afrique a perdu la confiance en soi. Avec les dictateurs, sérieux blocages de l'Afrique, les ressources domestiques sont méprisées, bafouées et détruites. Et quand on finit de détruire les richesses domestiques, on court chercher dans les caniveaux extérieurs la racaille, les loosers et le déchet à coût de millions d'argent. Le football africain est l'un des domaines qui illustre le mieux cette pratique idiote et ruineuse confinant à un terrible complexe d'infériorité. L'Afrique qui a produit des Weah, Abedi, Yekini, West, Milla, Nkono, Abega, Guaméné, Fofana, Yeboah...se donne "curieusement" pour devoir de toujours se rabattre sur des entraîneurs étrangers à la traîne en Occident pour soi-disant entraîner les équipes nationales fantoches. Ainsi, à la veille de chaque compétition internationale, les dictateurs africains et leurs sbires de la fédération de football annoncent gaillardement l'arrivée de tel ou tel sauveur européen (parfois sud-américain) qui finit en catastrophe.

Ce prétendu entraîneur sauveur, véritable sorcier blanc passe quelques mois à la tête de l'équipe, amasse des millions à titre de salaire non imposé d'ailleurs, squattent le meilleur hôtel, collectionnent les filles puis offrent, au mieux, des matchs nuls sinon des défaites sur défaites au pays. Puis, il est limogé. Limogeage qui entraîne parfois des dommages-intérêts lourds. L'intérim est assumé par un autochtone miséreux, éternel directeur technique sous des entraîneurs étrangers médiocres, puis quelques mois après, on recommence. On recrute un nouveau sorcier blanc et le cycle recommence.

C'est dire combien avec les satrapes africains, on n'est pas au bout du ridicule et du gâchis. Un gâchis, somme toute, voulu et organisé. Car, il permet de se faire de l'argent sur le dos du peuple.

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