Le 10 octobre 2009, l’Association des Ressortissants Guinéens et Sympathisants à Zurich (ARGSZ) a organisé une journée de clôture du Cinquantenaire de l’accession de la Guinée à la souveraineté nationale. M. Rodrigue Komla Kpogli, Secrétaire Général de la "Jeunesse Unie pour la Démocratie en Afrique (J.U.D.A) est appelé à parler des "transitions" en Mauritanie, au Gabon et au Togo.
Rodrigue KPOGLI se prononce sur la situation en Guinée.
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Dans sa communication lors de la conférence de l’Association des Ressortissants Guinéens et Sympathisants à Zurich (ARGSZ) le 10 octobre 2009, Rodrigue Komla KPOGLI a retiré le qualificatif de "chef d'Etat" à Dadis. Ces propos n'ont pas plu à M. Keita, ex-colonel de l'armée guinéenne qui a réagi. Voici la réponse que lui a apporté Rodrigue KPOGLI.
Dadis, chef d'Etat? Réponse de R. Kpogli à Keita
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1 commentaire:
Chères Amies, chers Amis,
Dans l'approche africaine, il n'est de doute que nous devions nous défaire progressivement des acquis de duperies ancestrales dont-nous baignons en division et qui sont artifices de distorsions de force, de solidarité, d'entente, pragmatisme etc., communautaire et identitaire.
Sur la Guinée dont le sort et l'occupation ne devraient pas, il est vrai, n'être réduit à un groupuscule en exclusion de tout autres Africains, il importe de s'éloigner de vitupérations d'ordre fatales.
Nous savons tous que le jeu politique actuel qui nous a été en outre imposé en legs comme-ci nos ancêtres qui ont maintenu la chaîne de vie que nous portons n’étaient point organisé. Nous savons que nous sommes victimes par ricochet direct de la maîtrise de système qui s'apparente à un bien fabriqué par autrui qui vous remet la notice d'utilisation et est incontournable pour toutes réparations.
Dans ce sens il est facile pour le propriétaire réel (fabricant) de nous induire en erreur, et là dessus vous conviendrez que l'instrumentalisation est de plus forte, la division des esprits en camp renforce de plus bel l'appel au propriétaire.
En d'autres termes, vous savez aussi bien, sauf rare exceptionnalité, que toute action même d'ordre privée n'est pas de nature à complaire l'entier des destinataires.
En effet il y'en a qui sont de nature à profondément disqualifier leur auteur, et ce relatif aux atteintes aux droits et libertés reconnus à l'Homme par certains (tout à fait appréciable, pour qui est viable), le sont tout particulièrement. De sorte que l’événement du 28 septembre en Guinée, même si instrumentalisés par le jeu politique (opposants, étrangers, forces armées) en est de nature à soulever l'ire, la colère.
Cependant, il ne devrait être objet à partialité, ce qui nous renverrait dans les méandres de la division et donc du succès perpétuel de l'étranger. Tous les acteurs ci-dessous mentionnés sont responsable direct: les opposants du fait des connexités étrangères qui les pourfendent à la perversion, comme-ci l'ordre démocratique successoral voulu au décès de Conté les auraient été favorable; Les étrangers du fait de rancœur tirée de la subversion dont-il non été initiatrice ou qui s'imposa à eux et par la suite menaça considérablement leurs postures; Les militaires pour avoir emprunter un jeu étranger à leurs aptitudes (combat politique) et réagit selon leur formation (usage des armes).
Une autre chose est certaine, mêmes les Etats voisins à la Guinée ne voient pas d'un bon oeil, la survenance Camara, cela ne garanti en rien les ententes successorales comme ce fut le cas au Togo, au Gabon et que bien d'autres tentent à initier au nom de l'intérêt supérieur des nations. hum !!!
Alors il est fort possible que ces derniers qui doivent bien avoir d'amis de formation dans l'entourage Camara, aient joué un rôle contre celui qui leur projette des sueurs froides. Non pas dans son caractère, franchement il y'en a (et nombreux sont-ils qui profitent exclusivement des attributs de la fonction) qui sont à la tête des Etats africains et qui ne savent même pas s'exprimer d'eux même et voire même décider directement (d’ailleurs le passage de Bush junior 2000-2008 aux Usa prouve que c'est pas la personne en profond qui compte réellement, mais le talent de son entourage).
Alors qui devrait être à la tête de la Guinée, les opposants dont-on a pu s'apercevoir leur proximité d'avec l'étranger et qui en ce sens certain s’instruisent d'attitudes d'obligés ?
Les anciens de l'ère Conté (revanchards), Hommes du statut quo ?
Le mouvement Camara et son amateurisme ?
A mon humble avis si Camara doit être responsable des instrumentalisations qui ont certainement gagnées sont camp, il est compréhensible que sa tête son départ soit requis, mais en toute bonne volonté il est tout aussi préférable de s’accordé au préalable sur son remplaçant avant tout.
Quoi qu'il en soit il faudra faire intervenir l'armée et une situation à la Guinée Bissau serait-elle souhaitable?
Tapa Joseph
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